Une discussion avec des acteurs - Dominique Blanc, Vincent Perez - et des techniciens - le chef opérateur du son Guillaume Sciama, le monteur François Gédigier, le maquilleur Kuno Schlegelmilch - sera suivie de la projection d’une copie restaurée, en version longue, de La Reine Margot.
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Le lundi 22 octobre 2018, en préambule de l'inauguration de l'exposition Patrice Chéreau à l'œuvre, le danseur-chorégraphe Thierry Thieû Niang danse dans la cour des Archives nationales
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exposition aux Archives nationales
du 24 octobre au 2 décembre 2018
Musée des Archives nationales - Hôtel de Soubise • 60 rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris
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Projection de La Reine Margot, de Patrice Chéreau, à l’ENS Louis-Lumière
Samedi 20 octobre 14:00
L’Ecole nationale supérieure Louis-Lumière, en partenariat avec l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, consacre l’après-midi du samedi 20 octobre 2018 à un hommage à Patrice Chéreau autour de la projection de son film La Reine Margot, photographié par Philippe Rousselot, AFC, ASC.
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Patrice Chéreau en son temps
sous la direction de
Pascale Goetschel,
Myriam Tsikounas et
Marie-Françoise Lévy
avec la collab. de
Sylvie Le DantecParis, Éditions de la Sorbonne,
en librairie à partir du 25 octobre 2018
412 pages illustrées, coul.
ISBN : 979-10-351-0093-3
ISSN : 0292-6679
prix : 25 €pour davantage de précision contacter Ingrid.saillard@univ-paris1.fr
Metteur en scène de théâtre et d’opéra, cinéaste, réalisateur de films pour la télévision, Patrice Chéreau fut aussi acteur et directeur d’institutions culturelles. Comment prendre la mesure de son oeuvre, montrer les multiples dimensions de son travail, éclairer le parcours d’un artiste majeur du second XXe siècle et des débuts du XXIe ?
L’ambition de ce livre est de tracer un portrait du créateur, de situer son itinéraire comme son oeuvre dans l’histoire sociale, politique et culturelle des années 1950-2010, de souligner ses engagements et de faire apparaître la manière dont ses mises en scène témoignent des préoccupations contemporaines. Cette publication est également attentive aux circulations, aux échanges, aux rencontres internationales
et à la réception du travail de l’artiste sur les scènes européennes.
Pluridisciplinaire, cet ouvrage accueille plusieurs témoignages de proches compagnons de route. Il repose sur des sources variées (notes, carnets, dessins, croquis…), pour certaines inédites. Elles permettent de cerner au plus près le travail de Patrice Chéreau sur les textes, sa pensée et ses mises en scène.Les contributeurs
Michel Bataillon ; Anne-Françoise Benhamou ; Livia Cavaglieri ; Julien Centrès ; Marion Denizot ; Gérard Desarthe ; Anaïs Fléchet ; René Gaudy ; Pascale Goetschel ; André Helbo ; Marie-Françoise Lévy ; Serge Linarès ; Antoine Marès ; Marie-Madeleine Mervant-Roux ; Jean-Sébastien Noël ; Robert Piencikowski ; Paola Ranzini ; Michel Rapoport ; Aurore Renaut ; Quentin Rioual ; Marie-Noële Sicard ; Marielle Silhouette ; Inès Taillandier-Guittard ; Catherine Tasca ; Grégoire Tosser ; Myriam Tsikounas ; Ana Vinuela et Françoise Zamour
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Journal de travail. Années de jeunesse – tome 1, 1963-1968
Journal de travail. Années de jeunesse – tome 1, 1963-1968
Patrice Chéreau
Julien Centrès – Directeur d’ouvrage
Ariane Mnouchkine – Préfacier
Pablo Gonzalo Cisneros – PostfacierCo-édition Actes Sud-Papiers/Imec, 2018
272 pages
ISBN : 978-2-330-08410-3 • prix : 25 €Ce premier volume se consacre aux années de jeunesse de Patrice Chéreau, de sa première mise en scène en 1963 (L’Intervention de Victor Hugo) à la création du Prix de la révolte au marché noir au Théâtre de la Commune à Aubervilliers en 1968. Pendant ces cinq ans, le lecteur suivra les réflexions du metteur en scène depuis ses débuts dans le groupe théâtral du Lycée Louis-le-Grand au Festival d’Erlangen (1963-65), de Gennevilliers à Sartrouville (1966-69).
Devant cette oeuvre monumentale aux fabuleux travaux préparatoires, conservés à l’IMEC, il a fallu renoncer à l’exhaustivité. Voici une sélection de notes, restituées chronologiquement, dans lesquelles le metteur en scène pense son travail, analyse une pièce, cherche son geste et évoque ses collaborations.
Dès ses premières mises en scène, Patrice Chéreau prend l’habitude de dater ses notes, couchées à la hâte, le plus souvent sur des feuilles volantes qu’il émaille de nombreux croquis. On y lit qu’il travaille simultanément sur différents projets, que l’artiste change de paradigme médiatique, pensant d’abord le théâtre avec la grammaire de la peinture avant de lui préférer celle du cinéma. En parcourant ces écrits et ces dessins, c’est la pensée, la définition de l’esthétique, le discours sur le monde du metteur en scène et les questions politiques de son temps qui apparaissent au lecteur. Ces écrits sont aussi la trace de ses lectures marxistes à partir desquelles il analyse les œuvres littéraires et les rapports de forces dans les sociétés.
On y retrouve enfin l’admiration de Patrice Chéreau pour Bertolt Brecht et le Berliner Ensemble, sa tentative d’un théâtre militant à Sartrouville qui précède un intérêt marqué pour la troupe américaine du Bread and Puppet Theatre.http://www.imec-archives.com/editions/journal-de-travail-annees-de-jeunesse-tome-1-1963-1968/
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